En plein début de campagne, Harper dit qu'il serait possible que le NPD de Jack Layton prenne le pouvoir, que les libéraux sont encore forts mais aussi qu'il pourrait se retrouver encore en situation minoritaire. S'agit t'il d'un élément de stratégie?
Au Québec, je ne crois pas que les attaques de Gilles Duceppe auront de la traction puisqu'il existe un univers gigantesque entre George Bush et Stephen Harper. Par ailleurs, les Québécois ne sont pas si à gauche qu'on le croit. Aprés tout, comme j'en parlais sur mon blogue et dans Le Soleil en 2007, les Québécois ne sont pas à gauche surtout quand on s'éloigne de Montréal(mon patelin).
Alors au Québec, on s'en fout un peu de la majorité possible de Harper mais dans le reste du Canada, ce n'est pas le cas. CTV commence d'ailleurs à modéliser ses sondages en se concentrant seulement sur les comtés importants (il était temps un peu, ça fait des années que les Britanniques font cela) et on voit que les électeurs pensent toujours que Harper a un hidden agenda. Dans ce cas, dire qu'on reste minoritaire peut forcer les conservateurs à ne pas relâcher la cadence et ne pas inquiéter certains électeurs marginalement opposés aux conservateurs mais pas assez motivés pour voter si ils ne sentent aucune menace.
Au Québec, je ne crois pas que les attaques de Gilles Duceppe auront de la traction puisqu'il existe un univers gigantesque entre George Bush et Stephen Harper. Par ailleurs, les Québécois ne sont pas si à gauche qu'on le croit. Aprés tout, comme j'en parlais sur mon blogue et dans Le Soleil en 2007, les Québécois ne sont pas à gauche surtout quand on s'éloigne de Montréal(mon patelin).
Alors au Québec, on s'en fout un peu de la majorité possible de Harper mais dans le reste du Canada, ce n'est pas le cas. CTV commence d'ailleurs à modéliser ses sondages en se concentrant seulement sur les comtés importants (il était temps un peu, ça fait des années que les Britanniques font cela) et on voit que les électeurs pensent toujours que Harper a un hidden agenda. Dans ce cas, dire qu'on reste minoritaire peut forcer les conservateurs à ne pas relâcher la cadence et ne pas inquiéter certains électeurs marginalement opposés aux conservateurs mais pas assez motivés pour voter si ils ne sentent aucune menace.
Vincent Geloso
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